Ne culpabilisez plus de ne rien faire ou de passer du temps à rêvasser ! Lorsque nous nous reposons ou que nous nous abandonnons à la rêverie, notre cerveau ne reste pas inactif. Marcus Raichle, un neurologue de l’université de Saint Louis dans le Missouri, a ainsi remarqué dans les années 90, que certaines zones cérébrales sont, paradoxalement plus actives lorsqu’un individu est au repos que lorsqu’il résout, par exemple, un problème de math. Le cortex préfrontal médial, le cortex pariétal inférieur, le lobe temporal interne et le cortex cingulaire postérieur, soit des zones à l’avant et à l’arrière du cortex, la zone du cerveau liées à la réflexion et à l’introspection s’activent alors ensemble en un réseau. Marcus Raichle l’a nommé le r...
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